Rehabilitation du système agricole

Avec l’augmentation de la Population mondiale, le nombre des bouches à nourrir augmente également. Or, l’agriculture, fut et demeure bien plus encore, que la production des écosystèmes dus à l’homme, le principal agent de la déforestation. Ainsi, à l’heure qu’il est,  des mouvements syndicaux dans le monde se mobilisent pour fustiger les mauvaises pratiques des producteurs agricoles (voulant nourrir les humains, ils détruisent les acquis des patrimoines environnementaux). Ici localement, Au Nord, Sud Kivu et en RDC, les producteurs agricoles pensent moins à développer des alternatives pour la sauvegarde de l’arbre et/ou foret et autres végétaux ligneuse avec la vertu de stimuler le sol, la pluviométrie, le rendement à la récolte, etc. Ils sont vraiment rare, à l’heure qu’il est, les agriculteurs, qui adhérent avec enthousiasme aux techniques modernes d’agroforesterie, pourtant révélatrices d’espoir face aux défis environnementaux et de la production aux quels les communautés sont confrontés. Ils  se contentent des techniques et pratiques agricoles traditionnelles et intensives, etc, qui malheureusement sont à impacts néfaste sur l’environnement à court, moyen et beaucoup plus à long terme.